Approchez, ouvrez grand les yeux,

il s’agit là d’une Wanted List d’une

autre ère.En février, des meufs badass

ont embarqué à nos côtés.

Ici présentes : Superbe Paris.

À bord, elles nous ont appris pas mal de choses. Notamment, comment

fabriquer des dessous qui dépotent et qui (re)donnent le pouvoir aux femmes qui les portent.


Et chez Gambettes, on s’est dit qu’on ne pouvait pas garder ce secret pour nous. Alors, nous voilà de retour sur Terre avec une Wanted List rétrofuturiste.

De nos inspirations à la conception, entrez dans les coulisses de notre collab’.

Wannabe des Spice Girls on repeat

dans votre baladeur CD, vous

arpentez l’univers dans vos bottes

de cowboy blanches ; véritable

conquérante de la Galaxie. Et vous

l’êtes. En or, du cou à la chaîne de

votre sac à main, avec vous,

c’est “If you want my future,

forget my past”.

Sur l’écran de votre MP3,

Aerodynamic des Daft Punk. Vous

faites le tour des concerts électro’

du monde entier, prête à dégainer

les cordes de votre robe en macramé

et vos boots à ressorts pour grimper

sur scène et déchainer les foules.

Sur votre magnétophone, ABC des Jackson 5. Entre deux diffusions des premiers pas sur la Lune, vous

trouvez le temps de faire des vagues

sur Terre. Cagoulée, bottines

zébrées, chemise en crêpe et jupe

en cuir, vous défiez les éléments et

ça fonctionne.

Dans votre walkman, la cassette de

Wake Me Up Before You Go-Go de Wham. Pour vous, la tenue du futur

n’a rien d’uniforme, vous affolez les rétines dans votre jupe rose fluo et

battez le pavé de vos bottes en

plastique néon.

Airpods en lévitation, Formula de Labrinth est en fond sonore. Pour dompter la Galaxie, vous enfilez

votre combi’ parfaite : la culotte et

le soutien-gorge Gambettes Box x Superbe Paris, faits de tulle et

paillettes. Et pour vous occuper de

la Terre, sous votre combinaison : le

body au col arrondi de la même

collab’ qui vous donne des super-pouvoirs.

En regardant l’un de ses tableaux, on a le sentiment de les avoir déjà croisées.

Leurs visages sont anonymes et pourtant, elles nous rappellent quelqu’un.

Parce que c’est ça l’Art d’Alexandra De Assunçao : des femmes en qui chacune

peut se voir.


Artiste-peintre et illustratrice, elle est notre égérie et a imaginé les 2 collants du mois :

Grandes et Soeurs avec nous.

Aujourd’hui, elle nous ouvre les portes de son appart’-atelier et nous raconte :

son histoire, sa vision de la sororité, ses inspirations, son rapport à la mode et aux collants.


Retrouvez l'interview complète sur notre Instagram :

“Je travaille sur la figure

des femmes et les enjeux environnementaux dans

un style assez minimaliste

mais très coloré.”

Comment décrirais-tu ton travail ?


Je fabrique des images à partir de mes émotions, de mes opinions de vie, parfois même de la politique pour créer une illustration la plus simple possible avec des aplats de couleurs minimalistes pour permettre à chacune de s’identifier.




Comment se manifeste la sororité

au coeur de tes peintures ?


Je pense ressentir la sororité depuis toujours et j’ai envie

de construire et de nourrir mon travail de cette valeur.

Plus je dessine, plus je tends à représenter des compositions de corps de femmes qui se touchent, se répondent, se juxtaposent et se soutiennent.

Pour moi, la sororité est un ensemble plein d’amour et de bienveillance.

Tu nous as dit que tu voyais la sororité comme un apprentissage perpétuel, comment est-ce que tu l’entretiens ?


J’écoute pas mal de podcasts en ce moment. J’aime beaucoup Les Pieds sur Terre et La Poudre avec Lauren Bastide. Sinon, j’ai un super podcast sur les icônes et

la place des femmes dans l’Art à vous recommander : Quoi de Meuf ?

“Les deux collants

du mois : Grandes

et Soeurs m’appellent

à la sororité, au partage

et à la solidarité.”

Tu te sens comment quand tu portes

des collants ?


Même si ça n’a pas toujours été évident pour moi, je le vois comme une forme de liberté. Porter des collants dans l’espace public n’est pas si simple mais c’est de se sentir libre d’être soi-même et de porter ce qu’on veut !




Pour conclure : quel coup de boost tu aimerais donner aux femmes qui nous lisent ?


J’aimerais beaucoup que de plus en plus de femmes se sentent impliquées et qu’on ouvre la sororité à l’adelphité (valeur plus inclusive et neutre) qui intègre toutes les personnes victimes de discriminations.

Merci beaucoup Alexandra !

On vous retrouve sur Instagram avec l’interview complète :

En regardant l’un de ses tableaux, on a le sentiment de les avoir déjà croisées. Leurs visages sont anonymes et pourtant, elles nous rappellent quelqu’un. Parce que c’est ça l’Art d’Alexandra De Assunçao : des femmes en qui chacune peut se voir.


Artiste-peintre et illustratrice, elle est notre égérie et a imaginé les 2 collants du mois : Grandes et Soeurs avec nous.


Aujourd’hui, elle nous ouvre les portes de son appart’-atelier et nous raconte : son histoire, sa vision de la sororité, ses inspirations, son rapport à la mode et aux collants.


Retrouvez l'interview complète sur notre Instagram :

Comment décrirais-tu ton travail ?


Je fabrique des images à partir de mes émotions, de mes opinions de vie, parfois même de la politique pour créer une illustration la plus simple possible avec des aplats de couleurs minimalistes pour permettre à chacune de s’identifier.



Comment se manifeste la sororité

au coeur de tes peintures ?


Je pense ressentir la sororité depuis toujours et j’ai envie de construire et de nourrir mon travail de cette valeur. Plus je dessine, plus je tends à représenter des compositions de corps de femmes qui se touchent, se répondent, se juxtaposent et se soutiennent. Pour moi, la sororité est un ensemble

plein d’amour et de bienveillance.

Tu nous as dit que tu voyais la sororité comme un apprentissage perpétuel, comment est-ce que tu l’entretiens ?


J’écoute pas mal de podcasts en ce moment. J’aime

beaucoup Les Pieds sur Terre et La Poudre

avec Lauren Bastide.

Sinon, j’ai un super podcast sur les icônes

et la place des femmes dans l’Art à vous

recommander : Quoi de Meuf ?

Tu te sens comment quand tu portes des collants ?


Même si ça n’a pas toujours été évident pour moi, je le vois comme une forme de liberté. Porter des collants dans l’espace public n’est pas si simple mais c’est de se sentir libre d’être soi-même et de porter ce qu’on veut !



Pour conclure : quel coup de boost tu aimerais donner aux femmes qui nous lisent ?


J’aimerais beaucoup que de plus en plus de femmes se sentent impliquées et qu’on ouvre la sororité à l’adelphité (valeur plus inclusive et neutre) qui intègre toutes les personnes victimes de discriminations.

Merci beaucoup Alexandra !

On vous retrouve sur Instagram avec l’interview complète :