"Petite fille, je détestais mon corps. J’ai même commencé à m’affamer pour convenir à la société. Grandir en étant une femme grande taille quand la norme est d’être maigre est difficile. À mes 18 ans, j’ai décidé d’arrêter et de commencer à m’aimer. On a qu’une seule vie et il est hors de question que je la traverse en haïssant mon corps.

Aujourd’hui, je l’aime et plus particulièrement, mes jambes. Elles sont dodues, grosses, fortes.

Et même si elles sont pleines de bleus, elles sont la preuve que je réalise tout ce que j’entreprends. Je suis très reconnaissante envers elles."


"Aujourd’hui, j’ai rechargé mes batteries. J’ai beaucoup aimé la séance photo de groupe, on pouvait sentir la connexion entre toutes, sans jugement malgré nos différences."

Uppercut aux régimes, high kick aux crèmes anti-cellulite, crochet à l’injonction à l’épilation.

Notre credo ? Envoyer balader vos insécurités.

Chez Gambettes, vos jambes ; on les aime, et on vous invite à faire de même avec le Leg Studio.

Car elles sont belles, qu’elles soient longues, trapues, fines ou fortes, elles vous permettent, tous les matins, de vous lever et d’affirmer : 

“I run the world !”. Littéralement. 


Cette fois-ci, le Leg Studio pose ses caméras en Belgique où Romy, Trix, Juliet, Marine et Tiany nous parlent de leur histoire d’amour, de dé-amour et ré-amour pour leurs jambes. Par ici le shoot de self-love !

"Ma relation avec mes jambes n’a pas toujours été facile… Comme beaucoup de filles en grandissant, j’étais timide à leur sujet et je ne portais que des jeans pour les cacher. Quand j’ai commencé à me tatouer, c’est là que j’ai vraiment pris confiance en moi, en mon corps et en mes jambes. J’avais quelque chose de beau, dont j’étais fière dessus et j’ai commencé à les aimer, les assumer et à vouloir les montrer à tous.tes.

Mon processus d’amour pour mes jambes a été long mais me voilà, 10 ans plus tard, en train de les montrer tous les jours, en portant des collants, ou jambes nues dans une petite robe noire, un short d’été."


"Même si je peux comprendre ; ça me brise le cœur quand les femmes ont peur de montrer leurs jambes. Tout le monde en a, et elles sont avant tout fonctionnelles, alors pourquoi les cacher ? "

"Quand je porte une jupe, qu’on voit mes jambes, j’importe peu d’importance à ce qu’on va penser de moi. On peut se sentir jugées par le regard des hommes et même parfois, des femmes, mais j’essaie de vivre pour moi et pas pour les autres. Ce n’est pas facile de le faire, on trouvera toujours un défaut à ses jambes, mais ce sont souvent des complexes que la société nous met dans la tête. Pour moi, montrer fièrement ses jambes est donc un acte militant ! Un conseil ? Plus on ose, plus on est à l’aise avec soi-même, et le regard des autres. Oser s’en affranchir, sans trop réfléchir, c’est la base. De toute façon, on est humaines, la perfection n’existe pas donc just go with the flow."


"Aujourd’hui, grâce à Gambettes Box, j’ai été entourée de personnes bienveillantes, belles et ça fait un bien fou de ressentir toutes ces énergies !"

"Trop de femmes s’interdisent encore de faire des choses car elles ont peur d’attirer le regard des autres ou ne pas être à leur place. Je veux leur prouver le contraire : étant jeune, tout le monde m’appelait la “grosse moche”. J’étais “trop” grande, “trop” imposante. Pourtant, aujourd’hui, je suis mannequin. Et mes jambes m’aident à réaliser ce rêve, ces rêves. Elles me permettent de me lever, de marcher, de courir, de voyager, de voir de belles choses. J’ai grandi en les détestant mais maintenant, je les adore avec leurs défauts, mes vergetures sont très cools d’ailleurs."


"J’ai décidé d’être heureuse, quoi qu’il arrive et d’être en paix avec mes jambes, mon corps."

"Comme beaucoup de jeunes filles, j’ai grandi en ayant des complexes. Je reprochais à mes jambes d’être trop petites. Alors, je m’habillais en garçon manqué… Puis, au fur et à mesure, grâce à la mode, j’ai commencé à porter des pièces qui optimisent mon apparence. Une de mes missions, en tant que maman de 3 petites filles, est de leur enseigner à s’aimer et à aimer les autres, de les complimenter. Cela fait grandir un amour bienveillant entre femmes ; un amour de soi-même et des autres femmes. C’est aussi comme ça qu’on fera changer les choses."

Uppercut aux régimes, high kick aux crèmes anti-cellulite, crochet à l’injonction à l’épilation.

Notre credo ? Envoyer balader vos insécurités.


Chez Gambettes, vos jambes ; on les aime, et on vous invite à faire de même avec le Leg Studio

Car elles sont belles, qu’elles soient longues, trapues, fines ou fortes, elles vous permettent, tous les matins, de vous lever et d’affirmer : 

“I run the world !”. Littéralement. 


Cette fois-ci, le Leg Studio pose ses caméras en Belgique où Romy, Trix, Juliet, Marine et Tiany nous parlent de leur histoire d’amour, de dé-amour et ré-amour pour leurs jambes

Par ici le shoot de self-love !

Uppercut aux régimes, high kick aux crèmes anti-cellulite, crochet à l’injonction à l’épilation.

Notre credo ? Envoyer balader vos insécurités.

Chez Gambettes, vos jambes ; on les aime, et on vous invite à faire de même avec le Leg Studio.

Car elles sont belles, qu’elles soient longues, trapues, fines ou fortes, elles vous permettent, tous les matins, de vous lever et d’affirmer :

“I run the world !”. Littéralement.


Cette fois-ci, le Leg Studio pose ses caméras en Belgique où Romy, Trix, Juliet, Marine et Tiany nous parlent de leur histoire d’amour, de dé-amour et ré-amour pour leurs jambes. Par ici le shoot de self-love !

"Petite fille, je détestais mon corps. J’ai même commencé à m’affamer pour convenir à la société. Grandir en étant une femme grande taille quand la norme est d’être maigre est difficile. À mes 18 ans, j’ai décidé d’arrêter et de commencer à m’aimer. On a qu’une seule vie et il est hors de question que je la traverse en haïssant mon corps.

Aujourd’hui, je l’aime et plus particulièrement, mes jambes. Elles sont dodues, grosses, fortes.

Et même si elles sont pleines de bleus, elles sont la preuve que je réalise tout ce que j’entreprends."


"Je suis très reconnaissante envers elles. Aujourd’hui, j’ai rechargé mes batteries. J’ai beaucoup aimé la séance photo de groupe, on pouvait sentir la connexion entre toutes, sans jugement malgré nos différences."

"Ma relation avec mes jambes n’a pas toujours été facile… Comme beaucoup de filles en grandissant, j’étais timide à leur sujet et je ne portais que des jeans pour les cacher.

Quand j’ai commencé à me tatouer, c’est là que j’ai vraiment pris confiance en moi, en mon corps et en mes jambes. J’avais quelque chose de beau, dont j’étais fière dessus et j’ai commencé à les aimer, les assumer et à vouloir les montrer à tous.tes."


"Mon processus d’amour pour mes jambes a été long mais me voilà, 10 ans plus tard, en train de les montrer tous les jours, en portant des collants, ou jambes nues dans une petite robe noire, un short d’été. "


"Même si je peux comprendre ; ça me brise le cœur quand les femmes ont peur de montrer leurs jambes. Tout le monde en a, et elles sont avant tout fonctionnelles, alors pourquoi les cacher ?"

"Quand je porte une jupe, qu’on voit mes jambes, j’importe peu d’importance à ce qu’on va penser de moi. On peut se sentir jugées par le regard des hommes et même parfois, des femmes, mais j’essaie de vivre pour moi et pas pour les autres. Ce n’est pas facile de le faire, on trouvera toujours un défaut à ses jambes, mais ce sont souvent des complexes que la société nous met dans la tête. Pour moi, montrer fièrement ses jambes est donc un acte militant ! Un conseil ? Plus on ose, plus on est à l’aise avec soi-même, et le regard des autres. Oser s’en affranchir, sans trop réfléchir, c’est la base. De toute façon, on est humaines, la perfection n’existe pas donc just go with the flow."


"Aujourd’hui, grâce à Gambettes Box, j’ai été entourée de personnes bienveillantes, belles et ça fait un bien fou de ressentir toutes ces énergies !"

"Trop de femmes s’interdisent encore de faire des choses car elles ont peur d’attirer le regard des autres ou ne pas être à leur place. Je veux leur prouver le contraire : étant jeune, tout le monde m’appelait la “grosse moche”. J’étais “trop” grande, “trop” imposante. Pourtant, aujourd’hui, je suis mannequin. Et mes jambes m’aident à réaliser ce rêve, ces rêves. Elles me permettent de me lever, de marcher, de courir, de voyager, de voir de belles choses. J’ai grandi en les détestant mais maintenant, je les adore avec leurs défauts, mes vergetures sont très cools d’ailleurs."


"J’ai décidé d’être heureuse, quoi qu’il arrive et d’être en paix avec mes jambes, mon corps."

"Comme beaucoup de jeunes filles, j’ai grandi en ayant des complexes. Je reprochais à mes jambes d’être trop petites. Alors, je m’habillais en garçon manqué… Puis, au fur et à mesure, grâce à la mode, j’ai commencé à porter des pièces qui optimisent mon apparence. Une de mes missions, en tant que maman de 3 petites filles, est de leur enseigner à s’aimer et à aimer les autres, de les complimenter. Cela fait grandir un amour bienveillant entre femmes ; un amour de soi-même et des autres femmes. C’est aussi comme ça qu’on fera changer les choses."